Le Progrès du 14 janv. 2024
Je suis heureux de constater que ce roman hyper simple a trouvé son public.
Je suis heureux de constater que ce roman hyper simple a trouvé son public.
A ma grande surprise, LE FIGUIER DES ENGOULEVENTS enregistre actuellement une moyenne de 4.93/5 sur le populaire blog Babelio. Merci à tous ! Voici quelques morceaux choisis des commentaires reçus :
Une annonce avant la Noël : Le Moineau de Bellecour cherche un nouvel éditeur, parisien de préférence. Contactez-moi ici… Et plus de détails dans cette vidéo :
Jean Ducreux invité de Radio Pluriel 91.5 FM, dans l’émission Miroirs, de Michèle Jacquier, le 11 décembre 2023. Régie Bernard Cauvin, lectures d’André Jacquier. Il y est question de distribution en librairie, de salons littéraires défaillants depuis la pandémie. Jean Ducreux encense les libraires de la Loire, défenseurs des auteurs locaux, mais aussi de grandes enseignes du Rhône, comme Décître et la Fnac, curieusement. Enfin on termine avec diverses considérations sur LE FIGUIER DES ENGOULEVENTS, le premier roman véritable de l’auteur. C’est-à-dire un non-polar, pour simplifier. Copyright Radio Pluriel 2023
Ce message sympathique est généré par Intelligence Artificielle.
Je suis heureux de vous annoncer la sortie de mon nouvel ouvrage, LE FIGUIER DES ENGOULEVENTS, qui se déroule en Occitanie : un roman cathartique et grave qui explore les blessures de l’âme humaine, sur un ton introspectif et dans un style qui veut rappeler celui des grandes pointures de l’édition française, les Bussi, Musso et Lévy de notre landerneau hexagonal. Du mystère sur plusieurs niveaux, des bons et des méchants personnages qui ne laissent pas indifférent… et un happy ending salvateur.
ARGUMENT : Haut fonctionnaire trop honnête à l’ascension contrariée, Constantin Cafarrosse est malheureux dans son couple comme dans son emploi, mais ne fait rien pour changer les choses. La mort de son père, avec lequel il était brouillé depuis vingt ans, remet en question l’équilibre de cette vie étriquée. Bien que fils unique, il n’est pas le seul héritier de son géniteur, comme le lui annonce la notaire de ce petit village du Fenouillèdes, au pied des Pyrénées. Une mystérieuse dame Cafarrosse est couchée dans le testament en tant que légataire universelle. Constantin va donc hériter dans des circonstances très spéciales, qui le poussent à revenir sur les vingt premières années de sa vie — la relation qu’entretenaient ses parents, ses amours et ses attachements, ses choix professionnels — jusqu’à bouleverser l’ensemble de son existence. Après bien des épreuves, il deviendra enfin un homme libre et maître de son existence.
Je ne ferai que peu de salons cette année, pour cause de cette satanée tendinite tenace. Je ne serai qu’à Feurs (2 avril) et Montbrison (10 juin). Dans l’intervalle, je viens de terminer un roman qui n’est pas le Moineau 4 et une pièce de théâtre surprise. Je dicte beaucoup en utilisant Google Docs, si vous connaissez. La dictée n’est pas parfaite, mais me soulage le bras.