Sélyre en février

Sélyre en février

Jean Ducreux a été reçu à la Sélyre Bellecour, rue Saint-François-de-Sales, le 1er février et a répondu aux questions de Jean Étévenaux sur son dernier roman, LE FIGUIER DES ENGOULEVENTS, face à un auditoire attentif d’une trentaine de personnes. C’est un réel plaisir de se rendre à la Sélyre, un club littéraire où les livres sont lus et finement analysés.

Le Moineau 2024

Le Moineau 2024

Suite à la rupture des trois contrats avec les Éditions Héraclite, le Moineau renaît de ses cendres aux Éditions VIERBÆREL, une société en création. De même, le site http://www.vierbaerel.com est en construction. La série d’illustrations met l’accent sur son personnage principal.

Pharaon 2024

Pharaon 2024

Répondant à une demande populaire tenace, LE PHARAON DE LA SORBONNE connaît une réédition, avec une illustration plus en rapport avec son contenu. Le texte n’a pas grandement changé, inutile de vous ruer si vous l’avez déjà.

Numa m’a dit…

Numa m’a dit…

Le très grand Numa Sadoul, pour qui j’ai un respect énorme, me lit régulièrement. Voici ce qu’il pense du FIGUIER DES ENGOULEVENTS.

« Voici un nouveau roman de Jean-Guy Ducreux qui est à mon sens le plus « personnel » de l’auteur : il publiait jusqu’ici des romans policiers ou de fiction historique dont le ressort était d’abord l’aventure et ensuite l’humour. Ici, c’est une initiation à la vie qu’il nous livre, la peinture d’un petit citadin coincé que la découverte de la campagne et de l’authenticité métamorphose en héros. Il y a bien sûr un peu d’action vaguement policière, des énigmes et mystères disséminés au fil des pages, et il y a aussi une bonne dose de second degré, mais l’essentiel est dans la mutation de ce fonctionnaire encore chrysalide qui n’attendait que la métamorphose grâce à sa soif d’amour et sa rencontre avec des êtres formidables, et aussi à sa respiration dans une nature pyrénéenne flamboyante (on quitte ainsi la région lyonnaise qui était au cœur des précédents romans de l’auteur). La bonne humeur triomphera des adversités sombres, la tendresse humaine fera couler son lait vivifiant, bien sûr au prix de quelques mésaventures et d’un vrai drame ; et le talent de conteur et de créateur d’ambiances de M. Ducreux m’aura une fois encore conquis. »